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le blog sport

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5 juin 2008

La Fusion

                

EST-CE L'AMOUR PARFAIT ?

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5 juin 2008

Les arbitres au coeur de la polémique

Rémi Harrel a accepté de jouer les prolongations et de lever le voile sur « l'homme en noir »et l'arbitrage vidéo.

Quelles sont les qualités d'un bon arbitre de football ?

Pendant longtemps, il suffisait d'être intègre et de connaître parfaitement les lois du jeu. Aujourd'hui, cela ne

suffit plus ! L'arbitre moderne est un sportif de haut niveau : on lui demande des qualités physiques, une

grande maîtrise de soi pour faire face aux enjeux, et un sens aigu de la communication. On parle désormais

de « technique » et de « tactique » d'arbitrage : le placement, les déplacements ou encore la communication

avec les assistants évoluent constamment.

Quelles sont les décisions les plus difficiles à prendre sur le terrain ?

Les penalties ou les cartons rouges, bien sûr, qui sont les décisions les plus souvent contestées. Mais il est

des situations plus compliquées encore : ce sont les entorses nouvelles à la règle - ces petites tricheries que

les footballeurs « inventent » régulièrement, comme les tirages de maillot dans les années 90. En l'absence

de règles claires, on s'en remet à une qualité fondamentale pour un arbitre moderne : le discernement.

Dans un jeu qui va de plus en plus vite, l'arbitre n'a que quelques fractions de

secondes pour agir. Comment prend-il sa décision ?

Ce qui importe, c'est le visuel. Avec l'expérience et la répétition des matches, de nombreuses situations

doivent devenir des évidences. Dès lors, la chose est « simple » : vous voyez, vous appliquez. Sur certaines

phases, l'arbitre peut prendre une seconde de recul pour décider, en regardant ses assistants [1], par

exemple, ou en se fiant à l'attitude corporelle d'un joueur. L'intuition joue alors un rôle important. L'intuition et

l'expérience : voilà qui fait la force des grands arbitres.

Mais il y a forcément des erreurs...

Nul n'est infaillible. Il arrive même, une fois sur cent peut-être, que l'arbitre soit conscient de faire une erreur

au moment même où il siffle. A lui de bien gérer la situation ensuite, de se « remettre dans le match »,

comme un joueur ! Quoi qu'il en soit, il est une règle d'or : pas de compensation. Réparer une erreur par une

autre erreur, cela ne fait jamais qu'une erreur de plus.

Et l'arbitrage vidéo ?

Un arbitre n'a jamais rien à gagner à être pris en position de faute. Dès lors, tout système permettant de

réduire l'erreur est bon à prendre... à la seule condition que ce système lui-même ne soit pas sujet à

polémique. C'est pourquoi, il existe un consensus chez les arbitres français sur l'utilisation de la vidéo pour

répondre à des questions bien précises : le ballon est-il rentré dans le but ou non ? Y a-t-il penalty ou

coup-franc pour une faute commise à la limite des 18 mètres ? Pour le hors-jeu, en revanche, non : car une

fois que l'arbitre a sifflé, l'éventuelle erreur n'est plus corrigible. Cela créerait plus de problèmes qu'il n'en

résoudrait.

Rémi Harrel aujourd'hui Animateur Technique National à la Fédération Française de Football, responsable de la formation des arbitres

SOURCE:http://www.decisio.info/pdf/pdf.php?id_article=99&PHPSESSID=29d763da34d244f81514973c7f89797f

a été arbitre en Division 1 de 1983 à 2000 et arbitre international de 1989 à 1999.

5 juin 2008

La vidéo est-elle acceptable ?

La vidéo a t-elle sa place sur un terrein de Football ?

5 juin 2008

L'arbitre, une cible facile

Cibles régulières des critiques, les arbitres français sont de plus en plus souvent montrés du doigt pour justifier un manque de réussite ou une mauvaise gestion tactique. Entraîneurs, joueurs, journalistes, tous se relaient pour hurler avec les loups… La vidéo pourrait peut etre leur simplifier la tâche.

« Même si on ne veut plus de nous en Ligue 1, on va se battre jusqu’au bout… » Si la Palme d’or récompensait les déclarations les plus empreintes de paranoïa absurde et de théories du complot bancales, alors Elie Baup monterait à coup sûr le tapis rouge de Cannes cette année. Après un penalty, certes litigieux, accordé à Nancy samedi, l’entraîneur toulousain a osé cette sortie dans un style qui lui est malheureusement coutumier. Le coach à la casquette n’est pas le seul à remettre en question la compétence, voire l’impartialité des arbitres français ; dès que l’un d’eux se trompe, il voit la vindicte populaire s’abattre sur lui comme la vérole sur le bas clergé.

Source: www.francesoir.fr

                             Elie Baup

5 juin 2008

Le match Avantages - Inconvénients

Pourquoi l'arbitrage video serait une bonne chose... ou une mauvaise?

A l’image d’autres sports qui ont franchi le cap, comme le rugby ou le tennis (avec carrément des images de synthèse), le foot pourrait opter pour la vidéo. Cela aurait le mérite de rendre indiscutables toutes les décisions arbitrales. Difficile par exemple à l’oeil humain de voir un hors jeu de 20cm avec la vitesse du jeu actuel. Un bon vieux révélateur pourrait faciliter les choses.

Oui mais...

...Comment interrompre le jeu pendant une phase de jeu pour valider une offensive ? Cela ressemblerait vraiment à un match de foot américain qui peut durer jusqu’à 3h et dont toutes les actions sont hachées constamment. De plus, il n’est pas facile de trancher sur toutes les actions, en effet après l’avoir revu des centaines de fois, il est toujours impossible de savoir si le ballon de Liverpool avait franchi la ligne ou non face à Chelsea en demi finale de la Ligue des Champions il y a deux ans ! L’usage avec parcimonie de la vidéo pourrait être une bonne chose et Canal pourait être le grand bénéficiaire de cette mesure mais elle creuserait un peu plus le clivage entre le foot pro et le foot amateur...

Source: cahiersdufootball.fr

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5 juin 2008

Interview d'un entraineur ligue 1 orange mécontent de l'arbitrage

Elie Baup (entraineur de Toulouse ) : «L'arbitre nous enlève deux points»

« Les joueurs avaient gagné trois points. L'arbitre leur en a enlevé deux. C'est inacceptable, pestait l'entraîneur toulousain après le match. Je ne conteste pas la décision concernant l'expulsion de Douchez mais le gardien adverse effectue une faute répréhensible d'un carton rouge et il ne prend qu'un carton jaune. Les joueurs ont été exemplaires en terme de combativité. Il faut continuer à rester solidaires. C'est la bagarre. Tous ces événements extérieurs doivent nous renforcer.»

SOURCE: LA Depeche Du Midi

4 juin 2008

Les réfractaires nuisent au football

Ce sont les caméras obligatoires homologués par la FIFA pour un match de football profesionnel, pourquoi avec toutes ces caméra la FIFA n'autorise pas la vidéo au foot surment car les responsables de celle ci sont très agés et ne veulent pas faire évolués notre sport qui en orait tant besoin. Ces réfractaires de la technologie nuisent a notre foootball confère a la dernière décision prise sur ce sujet ou la FIFA a refuser de metre des puces electroniques dans le ballon pour savoir si il avait oui ou non franchit la ligne, et d'intégrer la vidéo pour la prochaine coupe du monde.

Anthony et Teddy

4 juin 2008

Mr platini parle de l'arbitrage vidéo et propose des solutions

http://www.myfreesport.fr/dynamic/web.php?q=blog_video&id=16365"></iframe><br/>SPORT  http://www.myfreesport.fr/sports/football/ligue1/4/uefa-platini-parle-arbitrage-video-16365.html">Plus

Etes-vous d'accord avec les solutions que donne le président de l' UEFA ?

Si oui avez-vous d'autres solution si non pourquoi n'êtes vous pas d'accord?

4 juin 2008

Les arbitres sont vites pris à partis..A juste titre?

4 juin 2008

Les limites de la vidéo

La vidéo s'agit notamment de l'utilisation des images pour sanctionner rétrospectivement les joueurs, ou pour vérifier que le ballon est entré dans le but. Les autres sont illusoires et dangereuses.

Limites et mensonges de la caméra


Si les deux tiers des actions peuvent êtres jugés sans doute possible, il en restera toujours une fraction ou la décision tiendra à des éléments extrêmement ténus. Ce sont justement ces actions qui posent déjà problème et que la vidéo ne résoudra pas mieux (fautes discutables, mains (in)volontaires, hors-jeu à la limite...). Combien de ralentis provoquent des interprétations totalement opposées? Combien d'autres produisent de véritables illusions d'optique (comme avec les "loupes", qui transforment les chocs les plus violents en heurts inoffensifs) ou faussent la perspective ?

Dans le cas des hors-jeu, pour obtenir une fiabilité suffisante, il faudra imaginer des caméras qui puissent se déplacer constamment dans l'axe du premier attaquant, ou des systèmes électroniques qui reconstituent virtuellement les positions, voire un système de "balises Argos" qui repèreraient exactement les positions de chacun... Avant que de telles solutions ne soient au point, vous pouvez bien remballer les caméras.


Un remède pire que le mal

Un crime contre le jeu

Le football américain ou le rugby sont deux disciplines qui alternent phases de jeu et pauses, et l'intervention de la vidéo ne remet pas gravement en cause leur nature. Les choses sont totalement différentes pour notre football, où ce ne seront plus seulement certaines équipes italiennes qui chercheront à casser le rythme pour préserver un résultat, mais le système d'arbitrage lui-même! La qualité du jeu en souffrira évidemment, mais aussi celle du spectacle, avec le supplice de constantes interruptions.Comment décider qu'une action mérite plus qu'une autre le recours à la vidéo? On sera vite entraîné à multiplier les allers-retours en régie, et rapidement, la moindre faute pourra être discutée.

ralentisseur du jeu ?

SOURCE:http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=413

De (trop) nombreuses décisions des arbitres soulèvent la colère des supporters, mais qu'en sera-t-il de celles qui seront prises de sang froid, à partir d'images que chacun pourra juger lui-même? Si une erreur dans le feu de l'action est compréhensible, une décision contestable édictée par un invisible jury provoquera une incompréhension plus grande et des réactions encore plus violentes. Exemple : le penalty sifflé contre Rabesandratana et au profit de Ravanelli avait suscité (et suscite encore) des versions irréconciliables. Si un "comité vidéo" avait dû en juger, dans un sens comme dans l'autre, le scandale et les ressentiments auraient été décuplés. On arriverait à un résultat exactement inverse à celui souhaité: les accusations de corruption, de partialité ou d'incompétence se multiplieraient, et l'atmosphère serait encore plus délétère.

Des supporters connus pour leur...violence


Une dramatique bourde arbitrale relève de la fatalité, comme un poteau carré ou un mauvais rebond, aussi insupportable. De quoi relèvera une décision contestable émanant d'un comité? L'arbitre fait partie du jeu, est-ce le cas des ralentis? Ces terribles injustices (qu'une justice immanente parvient souvent à réparer au fil du temps) font la magie de ce sport, accentuent son caractère dramatique ou tragique et alimentent l'intensité des émotions qu'il procure. Est-il vraiment raisonnable d'imaginer une finale de Coupe du monde, ou n'importe quel match, dont le sort serait réglé par un groupe d'experts devant des écrans?

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